Une année marquée par l’instabilité s’achève sur une élection tendue
Après un délai de plus de deux ans, l’élection présidentielle a eu lieu le 30 décembre 2018. À l’approche du scrutin, la répression des opposants politiques et des défenseurs des droits humains s’est accrue, de même que l’insécurité générale. Les autorités congolaises ont plusieurs fois tourné le dos aux efforts internationaux de pacification.
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Plusieurs régions, en particulier dans l’est du pays, sont encore ravagées par les violences et le conflit armé. Les forces de sécurité et les groupes armés non étatiques se sont rendus coupables de viols, d’homicides, de pillage et d’actes de torture à l’encontre de nombreux civils.
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