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Ne les oublions pas !
Chers amis, chères amies, La semaine dernière, nous avons célébré la Journée internationale des victimes de disparitions forcées. À travers le monde, de nombreuses familles souffrent quotidiennement des conséquences de ce crime : l’incertitude lancinante, la stigmatisation sociale et la précarité économique, pour ne citer que celles-là. La plaie reste ouverte, quand bien même la disparition de leurs proches remonte à des années. «Si je pouvais trouver mon mari et l’enterrer dignement, je pourrais mourir le lendemain. C’est mon seul espoir dans la vie», dit Ema, qui vit en Bosnie-Herzégovine. Les familles n’oublient pas leurs êtres chers. Nous ne devons pas les oublier non plus. Ensemble, souvenons-nous des victimes de disparitions forcées. Et aidons ceux qui restent à accéder à la vérité, la justice et la paix intérieure. Merci de votre fidélité,
Gabriella Citroni, Conseillère juridique principale
DISPARITIONS FORCÉES
Une vie brisée
La vie de Kamala Katwal a basculé quand son père a disparu. Du jour au lendemain, elle a dû assumer toutes les responsabilités qui lui incombaient. Elle avait 12 ans.
Torture dans les prisons : vers la fin de l’omerta ?
TRIAL International a obtenu une rare condamnation pour des actes de torture en détention. La victime, arrêtée arbitrairement en 2017, défendait les droits humains.
Décision historique pour une survivante de violences sexuelles
Les Nations Unies ont donné raison à TRIAL International : il ne saurait y avoir de délais de prescription pour les victimes de torture qui demandent des indemnités.
Connaissez-vous l’app eyeWitness ? Mêlant droit et technologie, elle permet à des citoyens ordinaires de recueillir des preuves vidéo de manière sûre et fiable.
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